Cette soirée où j’ai vraiment découvert le sexe à Rennes

Comment tout a commencé sur sexeenbretagne.bzh
Je m’en souviens comme si c’était hier. C’était un dimanche soir un peu morose, et je traînais sur mon canapé, en caleçon, un verre de rouge à la main. J’avais envie de quelque chose de nouveau, de sortir de la routine. Je me suis souvenu de ce site dont un pote m’avait parlé en soirée : sexeenbretagne.bzh. Un site de rencontre libertine, mais réservé à la Bretagne.
Je me suis inscrit sans trop y croire. J’ai mis quelques photos, une bio un peu cash mais honnête. J’ai rapidement parcouru les profils, sans m’attendre à grand-chose. Jusqu’à ce que je tombe sur elle : Camille, 34 ans, Rennes. Une brune au regard de feu, un sourire qui disait clairement qu’elle ne venait pas là pour parler tricot, elle recherchait un partenaire pour une folle soirée de sexe à rennes. Elle portait un body en dentelle sur l’une de ses photos, assise sur un lit défait. J’ai eu un frisson rien qu’en l’imaginant dans cette tenue en vrai.
Je lui ai écrit un message simple : « Salut Camille. J’ai cliqué sur ton profil pour tes jambes. Je reste pour ton regard. » Réponse une heure plus tard : « Et tu resteras pour mon cul, si t’es à la hauteur. »
Notre rendez-vous pour une nuit de sexe
On a discuté deux jours. Pas des heures. Juste ce qu’il fallait pour faire monter l’excitation. Camille était cash, drôle, intelligente, et surtout très sûre d’elle. Elle m’a proposé un rendez-vous direct, sans détour : chez elle, un jeudi soir, quartier Sainte-Thérèse.
J’y suis allé comme un gosse qui va passer son permis. Excité, un peu nerveux. J’avais mis ma plus belle chemise noire, du parfum, et j’avais passé trente minutes à me raser de près. J’avais l’impression de retrouver le goût du jeu, ce frisson qu’on ressent juste avant de plonger dans l’inconnu.
Je suis arrivé devant chez elle vers 21h. Elle m’a ouvert en nuisette satinée. Rien d’autre. Pas de sous-vêtements, pas de vernis à ongles. Juste elle, au naturel, sensuelle et directe.
Elle m’a pris par la main, sans dire un mot, et m’a conduit dans son salon. Pas de chichi. Son regard me disait déjà tout ce qu’elle avait envie de me faire.
Première explosion de tension sexuelle dans son salon rennais
À peine assis, elle s’est glissée sur mes genoux, ses cuisses nues contre mon jean. J’ai senti son odeur, mélange de musc et de vin rouge. Son souffle était chaud, sa bouche juste au bord de la mienne.
Je n’ai pas attendu. Nos langues se sont trouvées, nos corps se sont collés. Elle frottait doucement son sexe contre moi, sans aucune gêne, et je sentais son excitation monter à travers le tissu. Elle a glissé sa main dans mon pantalon et a dit : « T’es dur, putain. T’as pas idée depuis combien de temps j’ai pas eu un mec qui me faisait cet effet-là. »
Je l’ai allongée sur le canapé. Sa nuisette a glissé toute seule. Pas besoin de lumière, ses courbes parlaient d’elles-mêmes. Je l’ai déshabillée du regard avant même de poser mes mains sur elle. Sa peau était chaude, douce, elle avait ce petit grain sous le nombril qui m’a rendu fou.
Je suis descendu doucement, langue sur sa poitrine, sur son ventre, puis entre ses cuisses. Elle gémissait déjà, fort, sans retenue. Elle a attrapé mes cheveux, m’a pressé contre elle, haletant comme une bête.
Le sexe à Rennes peut être brutal, sensuel, et foutrement réel
Je n’ai pas baisé Camille. Je l’ai possédée. Et elle m’a dompté.
Dans sa chambre, les lumières étaient tamisées, ses draps en satin gris étalés comme une invitation au péché. Elle s’est mise à genoux sur le lit, ses fesses bien en l’air, et m’a dit : “Vas-y, prends-moi comme si t’étais en manque depuis un an.”
J’ai enfilé un préservatif, sans un mot. Et je l’ai prise, là, violemment, avec toute la frustration que j’avais accumulée ces derniers mois. Elle gémissait, criait presque. Elle se retournait, se cambrait, me grattait le dos. Elle était incontrôlable, insatiable.
J’ai changé de rythme, plus lent, plus profond. Elle s’est accrochée à moi, ses ongles dans ma peau, et m’a regardé dans les yeux quand elle a joui. Ce regard-là, je ne l’oublierai jamais.
Deux corps, une alchimie : le sexe peut vraiment rendre accro
Après ce premier round, on s’est effondrés sur le lit. Elle a sorti deux bières de son mini-frigo, en a allumé une, et m’a regardé avec un sourire coquin.
“Tu crois que tu vas dormir là ? T’as pas fini de me baiser.”
Je ne sais pas si c’était le ton, la sueur sur son ventre, ou la façon dont elle se mordait la lèvre… mais j’étais déjà prêt pour le deuxième round. Elle est remontée sur moi, lentement, très lentement. Cette fois, c’était différent. Moins sauvage, plus intense. Elle ondulait, jouait avec moi, contrôlait chaque mouvement, chaque gémissement.
On a fait l’amour longtemps. En cuillère. En amazone. Elle m’a fait découvrir des rythmes que je ne connaissais pas. Elle me murmurait des trucs cochons à l’oreille. Elle savait exactement comment m’exciter, comment faire durer le plaisir.
Et moi, je me suis laissé emporter par le sexe à Rennes
À 3h du matin, j’étais vidé. Épuisé. Mais heureux. Elle s’est blottie contre moi, nue, encore humide, son pied enroulé autour de ma jambe.
On n’a pas parlé d’amour. Ni de suite. Juste d’une chose : “C’était bon. On recommencera.”
Et putain oui, on a recommencé.